La fuite des facteurs de classification de Yandex a eu l’effet d’une bombe dans le monde du SEO. Le défi est que même si Google partageait ou quelqu’un coulait ses facteurs de classification, le travail de SEO serait tout de même tout un défi.

Le défi n’est pas tant de connaître les facteurs de classification car tout bon professionnel en SEO connait relativement bien ou se doute de ces facteurs de classification. Le défi réside dans la manière de quantifier l’importance relative de ces facteurs. Dans l’épisode 107 de ce podcast, j’ai parlé d’une manière de s’y prendre pour trouver cette importance relative.

Donc, on peut certainement trouver l’importance relative des facteurs de classification des moteurs de recherche comme Google. En fait, on peut même les transformer en recommandations à appliquer. C’est exactement ce que fait le logiciel SEO espion pour les pigistes et les agences offrant des services SEO.

Dans cette vidéo, Charles Demontigny, qui est scientifique de la donnée et moi parlons des fuites de Yandex, du data-driven SEO et de SEO Espion.

D’ailleurs c’est grâce au data obtenu par SEO Espion si j’ai pu parler avec autant de certitude lors de cette entrevue où on discutais du processus SEO et des facteurs de classification pour alias entrepreneur.e Évidemment que sans cette information, j’aurais eu beaucoup moins d’applomb dans mes affirmations qui nécessitent du “testing”.

Dans une entrevue récente de l’épisode 115 avec Patricia Filiatrault, je parlais du que le SEO était un mélange de marketing numérique, de programmation (pour le SEO technique) et de science de la donnée et je crois que l’aspect science de la donnée est extrêmement important pour tester des hypothèses.